
Pierre Ardouvin
Pour le centre d’art bastille, Pierre Ardouvin conçoit «La chose», comme la deuxième étape d’une série d’expositions qui a débuté avec « Temps de chien » en octobre 2007 à la galerie Chez Valentin.
Pour le centre d’art bastille, Pierre Ardouvin conçoit «La chose», comme la deuxième étape d’une série d’expositions qui a débuté avec « Temps de chien » en octobre 2007 à la galerie Chez Valentin.
Les montagnes alentour et la ville en contrebas se découpent à travers les larges fenêtres percées dans
l’ancienne casemate qui abrite le Centre d’art bastille.
De Guyane française, de Kanaky, d’Algérie ou de France des voix s’élèvent, celles des condamné.e.s politiques
déporté.e.s par la puissance coloniale française face à laquelle ils et elles tentaient de faire front.
Un jeu de quille en verre, frêle. Fragilisé par la nature de sa transparence, par la nature de sa matière.
« Nous tenons pour évidentes pour elles-mêmes les vérités suivantes : tous les hommes sont créés égaux ; ils sont doués par le Créateur de certains droits inaliénables ; parmi ces droits se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur. » Thomas Jefferson, 1776
Sur une proposition de Thomas Kocek
“Exhaler” est né de la rencontre entre deux étudiants de l’École Supérieur d’Art de Grenoble, Min Gang Deng et Antoine Perrin, dans le cadre du module du professeur Sur une proposition de Thomas Kocek
“Exhaler” est né de la rencontre entre deux étudiants de l’École Supérieur d’Art de Grenoble, Min Gang Deng et Antoine Perrin, dans le cadre du module du professeur Michèle Crozet, « Le voyage immobile ».Michèle Crozet, « Le voyage immobile ».
Dès ses premières œuvres, Estefanía Peñafiel-Loaiza travaille sur l’image objet en tant que témoignage, en tant que trace, mais une trace qui, fugace, s’efface. Se construit alors un travail sur la mémoire, le visible, l’indicible, qui fait appel à la “persistance mémorielle” de ce qui nous a été donné à voir.
Le passé vit dans le présent par les souvenirs et le travail de mémoire, les faits réels deviennent alors des histoires et nous exposent une perception subjective de la réalité.
L’animation a commencé à exister bien avant le cinéma. En 1860, le folioscope, qui donne l’illusion de mouvement lorsqu’on le feuillette, est l’une des premières méthodes d’animation.
La présence d’une ruche, l’Apiscope d’Olivier Darné, sur le site de la Bastille à l’occasion des Rencontres I organisées par l’Hexagone de Meylan a été le prétexte à lancer une enquête sur les imaginaires liés aux abeilles en collaboration avec le Centre de Recherche sur l’imaginaire, Université Stendhal, Grenoble 3.
Après 5 années d’exploration de la culture américaine, le centre d’art bastille s’associe à l’association Dolce Cinéma pour sonder à l’occasion des 4e Rencontres du cinéma italien la culture italienne à travers le cinéma, la musique et les arts plastiques.
Les propositions de Johan Parent témoignent d’un temps éventuel où l’objet à force de gestes permanents ou de tensions, deviendrait comme fou.